dimanche 1 juin 2008

Pour nourrir ses enfants, un homme braque une pizzeria

Braquer une pizzeria pour nourrir ses enfants. C'est ce qui est arrivé à un père de famille de la région de Toulouse. L'homme n'était pas malhonnête, juste désespéré : il a remboursé une partie du larcin dès le lendemain. Et présenté ses excuses au pizzaiolo.

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Patrick Tejero [07 mars 2008]

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Un braqueur peu gourmand…

GREENBURGH, New York (AP) — Un braqueur armé d’un couteau avait une idée très précise du butin qu’il voulait emporter: quatre dollars (2,93 euros). C’est pourquoi il a refusé le billet de dix dollars que lui tendait sa victime et a sagement attendu que le jeune homme aille faire de la monnaie dans une pizzeria.

Le braqueur a ensuite pris les quatre dollars et est parti en courant avant d’être rattrapé par la police quelques pâtés de maison plus loin.

La police a précisé mardi que le suspect, James Mitchell, 48 ans, a été inculpé pour vol et attaque à main armée par le tribunal de Greenburgh, petite ville de la grande banlieue nord de New York.

Son avocate, Arlene Popkin, s’est refusée à tout commentaire.

Pour le capitaine de police Joseph DeCarlo, “cette affaire est vraiment bizarre mais cela reste tout de même une attaque à main armée”. “C’est la première fois que j’entends parler d’un braqueur qui ne veut pas tout votre argent.”

L’affaire a commencé avec une rose artificielle que la victime âgée de 18 ans venait d’acheter. Selon les premiers éléments, le suspect aurait alors demandé cette rose mais le jeune homme a refusé. James Mitchell a ensuite sorti un couteau en exigeant la rose et de l’argent, a dit le capitaine DeCarlo.

“Tout ce que le gamin avait sur lui c’était un billet de dix dollars. Et son braqueur lui a alors dit ‘je ne veux que quatre dollars’. Il lui a demandé d’entrer dans la pizzeria pour faire de la monnaie. Quand le jeune homme est ressorti, il a pris les quatre dollars et est parti”, a expliqué DeCarlo.

L’adolescent et sa mère, qui l’attendait de l’autre côté de la rue, ont alors appelé la police et conduit les policiers jusqu’à Mitchell. AP